Jeux paralympiques 2024 - Fiers de nos athlètes

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Jeux paralympiques 2024 - Fiers de nos athlètes

 

Interview de Tim Celen et Sam De Visser

Tim - cyclisme - deux fois champion du monde, argent et bronze aux Jeux paralympiques de Tokyo !  Sam - natation - participe pour la première fois aux Jeux paralympiques. Ils parlent de leur sport et du rôle que joue l'équipe du Spronken Orthopédie et Amputee Care Center dans leur vie.

 

 

Tim et Sam parlent de la persévérance pour réussir et du choix des bons partenaires

 

Chez Spronken Orthopédie, nous sommes particulièrement fiers de nos athlètes Tim Celen et Sam De Visser, qui poursuivent tous les deux leurs rêves et participent aux Jeux paralympiques de 2024 à Paris. Ils s'appuient sur notre expertise depuis de nombreuses années et c'est un honneur de faire partie de leur parcours sportif inspirant.

À l'approche des Jeux paralympiques, qui se dérouleront du 28 août au 8 septembre 2024, toute l'équipe de Spronken Orthopédie et Amputee Care Center est prête à les encourager avec enthousiasme. Avant cet événement unique, nous avons posé à Tim et Sam six questions sur leurs préparatifs, leurs ambitions et le rôle que Spronken Orthopédie joue dans leur parcours vers le succès.

 Nous souhaitons à Tim et Sam tout le succès possible et attendons avec impatience leurs exploits à Paris !

 

Pouvez-vous nous parler un peu de vous et de vos débuts dans le sport ?

 

TIM: Je m'appelle Tim Celen, j'ai 26 ans et je suis cycliste paralympique. Pourquoi les Jeux paralympiques ? J'ai contracté une maladie à la naissance et j'ai commencé à faire du sport très jeune. J'ai toujours été un fan de football, c'est pourquoi j'ai commencé à jouer au foot. Cependant, en vieillissant, ce sport s'est avéré trop exigeant pour mes yeux, mes muscles, etc. J'ai donc commencé à faire du vélo. À l'origine, je voulais faire du vélo pour le plaisir, mais c'est ainsi que j'ai commencé à m'intéresser de plus en plus à ce sport.

Tim Celen

 

SAM: La natation paralympique. J'ai 20 ans et j'ai pratiqué des sports actifs toute ma vie. J'ai commencé à jouer au football et à faire de la natation de sauvetage à l'école pendant les cours de natation. Dès l'âge de 11-12 ans, j'ai commencé à faire de la compétition et je me suis lancé à fond dans le sport. La natation est aussi un sport que je peux pratiquer sans prothèse, ce qui me permet de bouger librement. C'est comme ça que j'ai commencé.

 Sam de Visser  

 

Que signifie le sport pour vous personnellement et comment a-t-il influencé votre vie ?

 

TIM: Pour moi, c'est très important parce que j'ai toujours eu peur du sport de haut niveau, surtout de ce que les enfants ou les gens penseraient ou diraient de moi. Plus tard, cela a complètement changé et j'ai grandi en tant que personne dans ce domaine également. Aujourd'hui, mon état d'esprit est le suivant : s'ils ne m'acceptent pas telle que je suis, ils devraient le savoir. Ils doivent me prendre tel que je suis.

L'un des meilleurs exemples est que j'avais peur d'aller à l'école en vélo, par exemple. Lors d'un camp d'entraînement à Lanzarote, ils voulaient faire un rapport sur moi. À ce moment-là, je me suis dit : « Oy, ce sera sur Sporza ». Mais les réactions positives de mes camarades de classe m'ont fait changer d'attitude. Aujourd'hui, je ne me préoccupe plus vraiment de cela.

 

SAM: Comme je viens de le dire, j'ai toujours été actif et j'ai aussi joué au football. Mais ça n'a pas marché parce que je ne pouvais pas courir sur de longues distances. En natation, je suis libre dans l'eau et je ne remarque pas que je suis sans jambes, pour ainsi dire. Je n'en ai donc pas besoin et je peux ainsi faire de l'exercice tous les jours. Je suis quelqu'un d'assez occupé, donc je pense que le sport m'a vraiment aidé à rester actif, surtout dans ce domaine.

 

Quels sont vos objectifs et vos attentes pour Paris 2024 ?

 

TIM: À Tokyo, j'ai déjà remporté deux médailles : l'argent et le bronze. Dans mon esprit, il manque encore la médaille d'or. Je pense que j'ai mes chances, y compris dans la course sur route, parce que le facteur temps y est assez difficile. Cependant, je me concentre principalement sur la course sur route ; je veux vraiment y aller.

SAM: Je vais surtout essayer de profiter de mes premiers Jeux paralympiques et d'acquérir de l'expérience. J'espère atteindre une finale de toute façon, c'est vraiment l'objectif principal. Lors de cette finale, je veux tout donner et essayer de faire une bonne course.

 

 

Comment la coopération avec Spronken Orthopédie vous a-t-elle aidé dans votre carrière sportive ?

 

« Pour moi, Spronken Orthopédie est le numéro un dans ce domaine.

 

TIM: L'équipe de Spronken Orthopédie a joué un rôle important pour moi depuis mon enfance. Au début, avec mes attelles, et plus tard, lorsque je me suis engagé plus intensément dans le sport de haut niveau, ils m'ont soutenu de plus en plus en vue de Paris 2024. J'entends parfois des histoires différentes de la part d'autres personnes qui ne sont pas originaires de cette région. Pour moi, Spronken Orthopédie est le numéro un dans cette région.

 

« Tout au long de ma vie, l'équipe de Spronken Orthopédie a beaucoup compté.

 

SAM: Depuis que j'ai trois ou quatre ans, Spronken Orthopédie est là. Non seulement dans ma carrière sportive, mais tout au long de ma vie, les dernières technologies et les meilleurs soins m'ont aidé. Tout simplement en m'apportant l'aide dont j'avais besoin.

Sur le plan sportif, j'en ai peut-être moins profité, car je pratique naturellement le sport sans prothèse, mais surtout sur le plan personnel et tout au long de ma vie, l'équipe de Spronken Orthopédie et maintenant celle de l'Amputee Care Center (ACC) ont vraiment été d'une grande aide.

 

Quels sont vos projets et vos ambitions pour l'avenir, à la fois dans le sport et en dehors ?

 

TIM: Continuer à m'entraîner et à faire des performances. Tant que tout se passe bien, je suis heureux de ce que je suis, à la fois dans le sport et dans la vie. Je pense que je suis une personne complète lorsque je suis en bonne santé et que j'ai les bonnes personnes autour de moi. Ainsi, je peux poursuivre les objectifs que j'ai en tête.

 

SAM: Dans le sport, j'espère accomplir tout ce que je peux et un jour gagner une médaille aux Jeux paralympiques. C'est vraiment un objectif pour moi. L'objectif principal pourrait être de battre le record du monde du 400 mètres nage libre. Si j'y parvenais, ce serait vraiment génial. En dehors du sport, j'espère continuer à vivre et à m'occuper sans restrictions. Faire ce que j'aime vraiment et continuer à avancer comme je le fais maintenant.

 

 

Quel a été le point culminant de votre carrière sportive jusqu'à présent ?

 

TIM: Mon moment le plus fort ? C'est une question difficile. Pour moi, le premier titre mondial a été la meilleure sensation que j'aie jamais éprouvée. L'année suivante, je suis devenu champion du monde à deux reprises, ce qui était également très spécial ! Mais cette première fois reste une expérience extraordinaire. Devenir champion du monde était l'un de mes plus grands rêves. Je me souviens que lorsque j'étais petit, j'avais discuté avec le Dr Jaco de ce que je voulais devenir et réaliser plus tard. J'avais dit à l'époque que je voulais devenir champion du monde et ce rêve est devenu réalité.

 

SAM: C'est arrivé cette année : les championnats d'Europe, où j'ai terminé troisième. C'est vraiment le point culminant jusqu'à présent. Il se trouve aussi que c'est l'année des Jeux paralympiques, ce qui donne un peu plus de confiance en soi.

 

 

Merci Sam et Tim, et bonne chance aux Jeux paralympiques de Paris !

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